J’y étais apprenti peintre en lettres, tout en y découpant des lettres dans du Scotchlite pour coller sur des panneaux de publicité et de signalisation routière. Puis la partie sérigraphie s’y est développée. J’ai juste eu l’interruption pour le service militaire du 30 12 61 au 30 06 63 – 1956 – 1966
Première photo:
Vue partielle de l’atelier de sérigraphie – octobre 1961 – avec Pierre qui, à l’époque, habitait à la Cité de l’Ill. Au premier plan, le bras d’une machine d’impression sérigraphique qui était fabriquée par les Ets Tripette & Renaud de Paris – Pierre est la table d’impression manuelle.
Deuxième photo:
Autre vue partielle avec les sèchoirs à claies. Au fond, l’étagère avec les encres sérigraphiques et à droite, les étagères où on mettait en réserve les pannonceaux imprimés.
Quand j’avais démissionné, après avoir répondu à une annonce d’un atelier de sérigraphie Quai des Bateliers, le certificat de travail signé par le patron ( le père ) était positif…
Cela n’a pas empêché l’un des deux fils de faire, au tél, le tour des Ateliers Sérigraphiques de Strasbourg et de me dénigrer auprès du futur employeur – je ne l’ai appris qu’en 1966 – Comme ce dernier ne m’avait finalement pas embauché avec un prétexte fallacieux, je m’en doutais un peu… j’ai alors cherché du travail pendant un bon mois…